Sommaire [Afficher]
- 1. Avant la farine, un peu d’histoire sur l’abbaye d’Oelenberg
- 2. Farine d’Oelenberg – sa fabrication
- 2.1. Les champs qui entourent l’abbaye d’Oelenberg
- 2.2. Le moulin de l’abbaye d’Oelenberg – pièce maîtresse !
- 3. La qualité des farines d’Oelenberg
- 3.1. Comment Oelenberg arrive à avoir une telle farine ?
- 3.2. Des labels de qualité
- 3.3. Une farine connue de tous
- 4. Les différentes farines à Oelenberg
- 4.1. La farine de blé T65 (boulangère) – format 2,5kg
- 4.2. Farine de blé T45 (pâtissière) – format 2,5kg
- 4.3. Farine complète – format 2kg
- 4.4. Son de blé – 1kg
- 4.5. Semoule de blé tendre – 1kg
- 5. Avis clients sur la farine d’Oelenberg
- 6. Les produits dérivés à base de farine d’Oelenberg
- 6.1. Les pâtes d’Oelenberg
- 6.1.1. Des ingrédients de qualité
- 6.1.2. Des pâtes aux formes variées et amusantes
- 6.1.3. Une fabrication artisanale
- 6.2. Les pâtisseries d’Oelenberg
- 7. Tous les produits de l’abbaye d’Oelenberg
L’abbaye Notre-Dame d’Oelenberg est une abbaye trappiste française, fondée en 1046 à une quinzaine de kilomètres de Mulhouse, en Alsace.
La fameuse “farine d’Oelenberg”, qui sort du moulin de l’abbaye depuis plus de 2 siècles, fait la réputation de l’abbaye dans la région, et au-delà ! Mais d’où vient cette réputation ? Quel est le secret de la farine de l’abbaye d’Oelenberg ?
Dans cet article, on vous explique tout : son histoire, sa fabrication, sa distribution, ses moines etc… C’est parti !
J’achète la farine d’Oelenberg
Les bons produits de l’abbaye d’Oelenberg : farine, pâtes, biscuits… © Abbaye de Pradines
Avant la farine, un peu d’histoire sur l’abbaye d’Oelenberg
Eh oui, la farine d’Oelenberg ne serait rien sans l’abbaye et ses moines trappistes… Alors on vous résume cet aspect des choses en deux minutes, top chrono !
Les débuts de l’abbaye d’Oelenberg
Tiens d’ailleurs, commençons par le commencement : d’où vient le nom “Oelenberg” ? En fait, au départ en 1046, le monastère est installé sur une colline, « Berg » en patois local, près du ruisseau voisin, l’« Oelen ». Oelen + Berg : voilà l’origine de “Oelenberg” !
Tout débute donc par ce prieuré, fondé en 1046 par la mère du pape alsacien Léon IX, et tenu par des chanoines réguliers de Saint-Augustin. Bien que ses débuts soient prospères, l’abbaye va subir ensuite bien des ravages. Les deux principaux à noter sont :
- Les guerres du XIVe siècle. En effet, ruinée et affaiblie, l’abbaye d’Oelenberg va poursuivre sa vie monastique, mais sous la tutelle de différents seigneurs ou autres congrégations religieuses au fil des années
- la Révolution. La communauté d’Oelenberg est alors dissoute, et un industriel du coin rachète les bâtiments !
Une belle archive de l’abbaye d’Oelenberg © Bibliothèque et Archives nationales du Québec
La renaissance d’Oelenberg
Finalement, en 1825, l’abbaye d’Oelenberg reprend vie avec le retour d’un groupe de moines trappistes, revenus d’exil. Et là, ça repart : au début du XXe siècle, l’abbaye d’Oelenberg compte alors 200 moines trappistes (80 prêtres et 120 frères convers), et fait figure de véritable centre religieux, intellectuel et économique.
Cependant, l’abbaye subit comme un coup de massue les deux Guerres mondiales : les bâtiments sont bombardés, et les moines obligés de se disperser temporairement. Mais heureusement, le temps des malheurs s’estompe et les moines peuvent même re-fonder en 1925 l’abbaye d’Engelszell en Autriche !
L’abbaye d’Oelenberg, entourée des ses beaux champs de blés © Oelenberg
Aujourd’hui
Depuis la fin du XXe siècle, malgré sa reconstruction, l’abbaye Notre-Dame d’Oelenberg a toujours vécu à un rythme plus modéré qu’avant…
Et en 2024, cette abbaye qui était encore la dernière « vivante » (habitée par de vrais moines trappistes) s’est éteinte, car la communauté était devenue trop fragile et vieillissante…
Mais cela n’empêche pas l’abbaye et ses quelques salariés, à court terme, de perpétrer le savoir-faire ancestral des moines, notamment en ce qui concerne la “farine d’Oelenberg” très réputée !
Dans la suite de cet article, on va justement aborder le sujet de la farine d’Oelenberg. Celle-ci est issue du moulin de l’abbaye, qui broie le blé des champs qui entourent l’abbaye. Regardons donc de plus près la fabrication de la farine d’Oelenberg…
Les moines d’Oelenberg (partis en 2024…) en plein office – ©Pascal Bastien
Farine d’Oelenberg – sa fabrication
Pour comprendre d’où vient la farine d’Oelenberg, il faut bien connaitre deux choses : l’origine du blé, et le moulin qui va broyer ce blé pour en faire de la farine. Heureusement, tout ça se fait bien sûr directement à l’abbaye ! On vous explique ça tout de suite.
Les champs qui entourent l’abbaye d’Oelenberg
L’abbaye d’Oelenberg possède ses propres terres : au global, cela représente 150 hectares, dont 50 de forêt, et 100 de champs ! Sur l’exploitation agricole, il y a la rucher du monastère (qui produit un excellent miel de fleurs), ainsi que des champs de culture de pommes de terre et de légumes. Mais vous pourrez aussi et surtout apercevoir des champs de céréales : maïs, colza et bien sûr… blé !
Dom Dominique-Marie, dernier père abbé avant le départ de la communauté en 2024, plaisantait d’ailleurs à ce sujet : « Nous n’avons pas d’argent mais nous avons du blé » !
L’abbaye d’Oelenberg entourée de ses champs de blé @romain_organisateur_de_pixels
Le moulin de l’abbaye d’Oelenberg – pièce maîtresse !
Une fois le blé récolté, il faut bien sûr le moudre pour que cela devienne de la farine. Evidemment, tout se passe à l’abbaye, avec les grandes meules en pierre du moulin, qui écrasent le grain depuis près de deux siècles… Et c’est depuis 1970 que le moulin est devenu la base de l’économie de l’abbaye d’Oelenberg, en produisant la fameuse “farine d’Oelenberg”. Allez, on vous explique comment tout ça fonctionne !
Le moulin d’Oelenberg, à l’origine
En fait, la farine d’Oelenberg est plutôt « ancienne », car le moulin est en marche depuis deux siècles ! A l’origine, les paysans des environs venaient avec chevaux et charrettes pour emmener le blé à l’abbaye. Ils attendaient alors le temps de la transformation, et repartaient enfin avec leur farine !
Cela tournait donc plutôt bien, et les moines maîtrisaient ça à la perfection, au point qu’on raconte qu’ils arrivaient à faire tourner le moulin 24h/24 !
Au carrefour entre la production et le produit fini © l’Alsace
Le moulin d’Oelenberg, aujourd’hui
Le moulin, tel qu’il existe aujourd’hui, à été reconstruit en 1947, après les guerres qui ont endommagé une bonne partie de l’abbaye.
Aujourd’hui, le moulin de l’abbaye produit 1100 tonnes de farine d’Oelenberg par an ! Sachant qu’il faut compter 100 kg de blé pour produire 75 kg de farine, cela veut dire que chaque année, les meules écrasent ≈ 1467 tonnes de blé. Pas mal, non ?
Philippe Lizier, responsable économique de l’abbaye devant le moulin d’Oelenberg ©Julien Kauffmann
Le personnel qui travaille au moulin
A son apogée, la communauté monastique d’Oelenberg était montée jusqu’à 200 moines, mais le chiffre n’a fait presque que descendre avec les années…
Pour son travail, l’abbaye compte donc sur l’aide précieuse de 17 laïcs salariés dévoués. « Sans nos salariés, nous ne serions plus là » résume dom Dominique-Marie, dernier père abbé d’Oelenberg, avec réalisme et reconnaissance.
Cette “alliance” entre moines et laïcs pour gérer les affaires économiques d’Oelenberg a toujours été très équilibrée. Les laïcs s’occupent de faire fonctionner le moulin et de gérer la boutique, tandis que les moines supervisaient le tout avec douceur, à l’époque. « Je ne sais pas si l’on peut trouver une telle bienveillance chez d’autres patrons » expliquait ainsi Philippe Lizier, le responsable économique de l’abbaye.
Désormais, vous êtes incollable sur l’histoire de l’abbaye, sur le fonctionnement de son moulin. Mais la farine alors ? On y vient, on y vient ! Dans la suite de l’article justement, on vous parle des farines d’Oelenberg : leur importance, leur qualité, leurs différences etc… C’est parti !
C’est dans ce moulin qu’est transformé la farine d’Oelenberg, surnommée « or blanc » © Abbaye Oelenberg
La qualité des farines d’Oelenberg
Au global, la farine d’Oelenberg représente environ 50% du chiffre d’affaires de l’abbaye. C’est vous dire son importance pour l’équilibre financier de l’abbaye ! Et c’est sans surprise qu’on la surnomme “l’or blanc monastique”!
Comment Oelenberg arrive à avoir une telle farine ?
Au risque de se répéter, la farine d’Oelenberg est vraiment exceptionnelle. Mais d’où vient cette qualité ? Dom Dominique-Marie, dernier père abbé , résumait cela : « Nous employons des gens compétents, nous sommes sévères sur la qualité de notre blé et nous ne faisons pas tourner le moulin à outrance »
Si l’on veut approfondir un peu plus cela, il y a donc deux éléments qui expliquent la qualité de la farine d’Oelenberg :
La qualité du blé
Tout d’abord, la farine d’Oelenberg vient de blé 100% alsacien :
- 1/3 vient de l’abbaye. Cette proportion va augmenter à l’avenir
- 2/3 vient d’autres agriculteurs du coin. Cette proportion va augmenter à l’avenir
Ensuite, les farines sont constituées de 7 variétés différentes de blé, source d’une incroyable qualité !
La qualité du moulin
Ensuite, bien sûr il y a le moulin qui joue son rôle :
- la chaîne de fabrication est bien plus lente que la moyenne du secteur. Nul doute que ce temps supplémentaire contribue à une farine plus fine, et meilleure !
- le personnel, dont on a déjà évoqué le rôle crucial, qui est à la fois super talentueux et à la fois très bien formé, et cela joue forcément sur la qualité finale de la farine d’Oelenberg
Sous l’oeil attentif des moines, ce sont des laïcs dévoués qui veillent sur la farine et sa distribution © Abbaye Oelenberg
Des labels de qualité
Preuve de la qualité des farines d’Oelenberg (s’il en fallait encore), il y aussi la certification de deux labels engagés sur l’origine, la traçabilité et la qualité des produits : “Monastic ®”, et “Savourez l’Alsace Produit du Terroir ®”
La marque “Monastic ®”
La marque Monastic garantit “l’engagement total de la communauté monastique dans le contrôle de toutes les étapes de la vie du produit”. Ainsi, le ton est donné : c’est un vrai produit monastique !
Sans rentrer trop dans le détail, cet “engagement total de la communauté monastique” se matérialise notamment dans les étapes suivants :
- conception du produit (recette, composition)
- achats et approvisionnements
- fabrication et production
- emballage, conditionnement, expéditions
- commercialisation et communication
- organisation générale
On retrouve tout ça bien sûr à l’abbaye d’Oelenberg pour ses farines !
Même si depuis le départ des moines en 2024, il y a fort à parier que la mention « MONASTIC® » tendra à disparaître…
Le logo « Monastic » garantit que la farine d’Oelenberg a bien été produite par l’abbaye ©Divine Box
La marque “Savourez l’Alsace Produit du Terroir ®”
Plus récemment, la présence de la marque “Savourez l’Alsace Produit du Terroir ®” pour les farines d’Oelenberg affirme plutôt son identité alsacienne forte ! Ainsi, cette marque garantit que :
- la matière première est alsacienne,
- les produits sont transformés en Alsace,
- et que le contrôle de l’origine et de la traçabilité sont indépendants.
Le logo « Savourez l’Alsace Produit du Terroir ® » garantit que la farine d’Oelenberg est bien un produit du terroir ©Divine Box
Une farine connue de tous
Forte de son histoire et sa qualité, la réputation de la farine d’Oelenberg n’est plus à faire aujourd’hui, et nombreux sont ceux qui la connaissent et l’apprécient.
En Alsace bien sûr, mais aussi en Allemagne notamment, et plus largement en France, par sa réputation monastique également.
Ainsi, les plus grands consommateurs de la farine d’Oelenberg sont les boulangers, pâtissiers et grands distributeurs d’un côté, mais aussi particuliers et visiteurs de l’autre ! Les avis des clients, glanés ici et là, sont unanimes :
- “ farine de qualité »
- “idéale pour la pâte à pain”
- “farine excellente”
- ”produit du terroir »
- « excellent »
- etc…
Philippe Lizier, responsable économique de l’abbaye, explique cela : « Nous écoulons tout. Nous n’avons quasiment pas de stocks ». Voilà qui est bien résumé, et qui conclue bien cette partie sur la qualité des farines d’Oelenberg ! Mais au fait, ce sont des farines de quel(s) type(s) ? Voyons ça maintenant !
Des visiteurs, des habitués, tous sont séduits par la qualité de ces produits monastiques © Alsace
Les différentes farines à Oelenberg
Eh oui, car on parle beaucoup de “la” farine d’Oelenberg, mais en réalité, l’abbaye produit plusieurs types de farine, selon la finesse du grain et les mélanges possibles de céréales. Regardons un peu ce qui existe aujourd’hui !
La farine de blé T65 (boulangère) – format 2,5kg
Elle est parfaite pour toute la boulangerie au sens large :
- pâtes à pain (à la main ou dans une machine à pain)
- pâtes à pizza
- tartes, et autres quiches
- et en cuisine pour épaissir les sauces, fariner viandes et poissons, glacer, paner etc…
Farine de blé T45 (pâtissière) – format 2,5kg
La farine type 45 (000) est le petit bijou de l’abbaye, ou en tout cas son produit phare ! Le type 45 “triple zéro”, signifie que cette farine est la plus fine que l’on puisse trouver sur le marché. Très fine et sans grumeaux, donc, cette farine T45 sera parfaite pour la pâtisserie :
- les tartes
- les gâteaux
- les crêpes
- les beignets
- ou encore des sauces plus fines (ex : béchamel)
Farine complète – format 2kg
La farine “complète” de l’abbaye contient le son et le germe du grain de blé. En la mélangeant avec un peu de farine blanche (la T55 par exemple), elle est idéale pour la pâte à pain, et notamment pour les “pains spéciaux” !
Son de blé – 1kg
Le son de blé est obtenu en séparant le blé de son enveloppe. Comme on peut le voir sur le schéma ci-dessus, on ne retient que le grain de blé débarrassé de son enveloppe.
Grâce à sa haute concentration en minéraux, phosphore, magnésium et fer, on le recommande notamment pour les personnes souffrant de :
- problèmes de constipation
- « mauvais cholestérol sanguin »
- diabète (car il permet de réguler plus facilement les variations des taux d’insuline)
Côté utilisation, c’est tout simple :
- dans la pâte à pain
- de la pâte à pizza
- ou en saupoudrant une salade ou encore dans un yaourt.
Semoule de blé tendre – 1kg
La semoule de blé tendre est une sorte de « farine granuleuse ». Elle est idéale pour vos :
- potages
- couscous
- bouillies
- gâteaux à base de semoule
- sans oublier les spécialités alsaciennes (ex : griespfluta, knepfles…)
La semoule de blé tendre est également une des star de l’abbaye d’Olenberg © Alsace
Avis clients sur la farine d’Oelenberg
Voici 40 avis (note moyenne : 4,9/5) de vrais clients sur la farine d’Oelenberg (T45 et T55) :
Les produits dérivés à base de farine d’Oelenberg
« La farine a été le premier aliment qui a fait connaître le moulin de l’Oelenberg. Ses dérivés augmentent aujourd’hui sa notoriété » précise Philippe Lizier, responsable économique de l’abbaye d’Oelenberg. Pâtes, gateaux, biscuits… L’abbaye d’Oelenberg valorise sa farine avec succès, dans quelques incroyables recettes !
Les pâtes d’Oelenberg
Les pâtes d’Oelenberg sont sans doute le produit issu de la farine d’Oelenberg le plus connu. Elles se sont en effet déjà fait une réputation, et certaines osent n’acheter que les “pâtes des moines” !
Des ingrédients de qualité
Pour fabriquer ses pâtes, voici ce que l’abbaye utilise :
- 1kg de farine – d’Oelenberg évidemment
- oeufs – de catégorie 1, venant d’une ferme du coin
- 9 jaunes
- 2 blancs
- eau
- sel
… et c’est tout ! On ne vous fait donc pas un dessin, mais c’est tout simple, et cela contribue à avoir de bonnes pâtes d’Oelenberg !
Au coeur de la fabrication des “pâtes” d’Oelenberg © Pascal Bastien
Des pâtes aux formes variées et amusantes
Même si la recette reste identique, les pâtes d’Oelenberg ont plein de formes différentes, selon les utilisations qu’on veut en faire :
- des pâtes larges, pour des tagliatelles au saumon,
- ou bien des pâtes fines, à dévorer avec du pesto,
- bien entendu des pâtes torsadées, pour une salade d’été
- et enfin des vermicelles ou alphabet : pour la soupe !
Une fabrication artisanale
A Oelenberg, par souci de conserver une qualité incroyable, l’abbaye a fait le choix de conserver une production des pâtes la plus artisanale possible. Notamment :
- les oeufs (entre 800 et 1000), qui sont cassés à la main
- les jaunes et les blancs sont séparés manuellement
- l’étape du mélange se fait à la main
Ce sont des pâtes fabriquées avec des œufs de la région cassés à la main ! ©Alsace
Les pâtisseries d’Oelenberg
En plus des pâtes, l’abbaye d’Oelenberg a développé tout une flopée de pâtisseries, fabriquées sur place. Dans la majorité figure bien sûr la fameuse farine d’Oelenberg, et contient aussi évidemment le savoir-faire de l’abbaye.
Vous pourrez notamment retrouver :
- les biscuits sablés : au miel, aux amandes ou aux noisettes !
- les tuiles aux amandes, avec 30% d’amandes effilées
- la tarte de Linz : une sorte de tarte à la framboise, mais avec des amandes moulues et de la cannelle dans la pâte. Ça sent bon l’Alsace
Et dans la série pâtisserie mais sans la farine d’Oelenberg, vous pourrez vous régaler avec :
- les rochers coco : natures, ou à la cannelle.
- les meringues. Avec du sucre et du blanc d’oeufs, elles ont la particularité de ne pas se ressembler de l’une à l’autre, car tout est à fait avec une douille, à la main ! Goûts : nature, amande, cacao, citron, framboise, vanille, ou trempées à moitié dans du chocolat !
Tous les produits de l’abbaye d’Oelenberg
Pour découvrir tout ça et se régaler, le mieux serait bien sûr d’aller sur place à la boutique de l’abbaye : Abbaye d’Oelenberg, Rue d’Oelenberg, 68950 Reiningue (commande par tel : 07 68 23 89 16)
Sinon, vous pouvez cliquer ici pour découvrir les produits de l’abbaye d’Oelenberg, ou bien regarder ci-dessous notre sélection de quelques-uns des produits phares de l’abbaye :
très fine et parfaite pour les quiches
Farine toujours parfaite
Farine d’une qualité exceptionnelle
Non utiliser encore
idéal pour les brioches
Bravo à tous, c’est nickel
Excellente comme d’habitude
Une qualité impeccable comme d’habitude
Super
Excellente farine, je suis fan.
satisfait
Finesse extra de la farine pour la pâtisserie.
Parfait
Je ne pourrai plus m’en passer elle est extra en tout